Il y a des gens qui sont comme des peaux tendues : tout résonne à leur contact
Que cela leur face du  bien ou du mal, peut importe, de doute façon ils sont sacrifiés, ils ne servent souvent qu’à hurler ce que les autres voudraient articuler. Les plus fragiles d’entre nous, les plus poreux, portent le nom d’artistes, et, au service de la conscience collective,
Ils peuvent libérer nos plus lumineuses conceptions comme laisser nos atrocités les plus insupportables.
Abdelouahhab Mellouki. ce montois, marocain que la vie fait belge. Né en 1954 à Fes, peint parfois à grands sanglots dans ce qu’il appelle » un figuratif réaliste ».
Les termes peuvent être remis en question, évidemment, lorsqu’on voit son œuvre
Mais il se défend, il dit que le corps n’est pas une abstraction et puis il s’en va vers le chiffre et la lettre et continue à faire le réalisme et du figuratif sur la concrète abstraction des signes.
Humain et des figures d’angles. Il dessine parce que le dessin fait partie de la charpente  de la peinture, il explique avec les éléments, peint des ciels, des brasiers, des minéraux surchargés de signes humains.
Son travail marche vers l’orient, là « ou le destin de l’homme saigne » comme le notait Aragon évoquant l’Espagne des années  fascistes. Le temps marche aussi, la guerre tient sa botte, il marche aussi vers l’orient.
Bien connu à Mons, diplômé de l’Institut des arts Plastiques et Visuels  de la Communauté Française, peintre, musicien, et enseignant de l’académie des Arts plastiques
Centre Culturel Arabe Bruxelles
.
[ultimatemember_password]

Super content de vous voir sur notre site Studione1. inscrivez-vous à la Newsletter .